David Caroll Sex-Realisateur

PLUS DE CARTIER POUR LES HARDEURS

Essuyez vos larmes, soufflez dans vos mouchoirs,

elle continue avec des spectacles en discothèque ou

elle obtient un franc succès... Et pour les inconditionnels,

ils leur reste les films qu’elle a tournés pour

xnumber1.com

Elle fut une des

stars du X préférées

des français mais

helàs, elle a abandonne

les tournages

Marine est et restera une des

personnalité les plus intéressantes                               

du X Business. Pour s’en

convaincre, il suffit de relire cette

interview qu’elle a accordée sur le

tournage de ses films...
 

LB: Marine Cartier, quels ont été tes

débuts dans le métier?

M: Suite à une annonce, je me suis

présentée dans une agence de casting

à Paris. J’ai rempli un questionnaire, fait

un press-book et j’ai commencé, deux

jours après, mon premier tournage avec

Michel Ricaud ça a duré trois jours,

c’était extraordinaire.

LB: Quels souvenirs gardes-tu de ton                            

premier tournage?

M: Ce qui m’a le plus marqué a été ma

première scène: une double pénétration

avec Siam et Franck Mazard.

LB: Bon souvenir?

M: ça va, mais pas ma meilleure

scène.

LB: Préfères-tu tourner avec des

hommes ou des femmes?

M: Les deux, mais ma préférence va

quand même pour les hommes.

LB: Plusieurs en même temps?

M: Trois maximum, c’est déjà bien.                              

LB: Quelles sont tes ambitions?

M: Pouvoir progresser...

LB: A ton avis, l’avenir du X est-il en

France, ou made in USA. On voit

actuellement beaucoup d’actrices

étrangères débarquer en France, mais

pourquoi, n’exportons-nous pas

les nôtres?

M: Oui, pourquoi pas...Mais pour

l’instant, je ne sais pas trop...France

ou étranger...

LB: C’est ton deuxième tournage avec

Dvid Caroll. Que penses-tu de la production?

M: Très bien. C’est une équipe très

sympa (merci pour eux). On n’est pas

stressé. C’est cool, c’est bien, c’est relax.                         

        

On ne se crie pas dessus, mais c’est

sérieux. C’est pro. Nous ne sommes pas

là en vacances, nous travaillons.

Il y a des limites à respecter.

LB: Que penses-tu des agents de

casting en général?

M: Les agents de casting? J’en ai fait

deux et si j’en fait un troisième, ce sera

le bon. Mais si je peux passer par

autre chose que par une agence

je préfère.

LB: Préférés-tu travailler en direct?

M: Cela dépend, car travailler en direct

et ne pas être reconnue c’est un                                   

problème. Les agents de casting sont

utiles mais si ces derniers sont comme

les deux que j’ai connus, cela n’en

vaut pas la peine. Il faut bien dire

qu’en France le porno n’est pas assez

“Starisé” pour les Françaises et

les Français.

Alors ceux qui se prétendent agents

de casting... Cela ne ressemble en

aucun cas aux Etats-Unis. A la limite,

autant travailler toute seule, mais cela

n’est pas évident car il faut savoir se

vendre être vue. Il faut être très pro et

ce n’est pas évident lorsque tu es

seule.

LB: Quels sont les comédiens avec

lesquels tu as préféré tourner?

M: J’ai un très bon souvenir de Rocco

Siffredi.(une de plus!)

Hé oui! Sinon pas de problème

particulier. J’aime tous les hardeurs.                              

Attention! Au niveau professionnel                                    

il s’entend!

LB: Penses-tu qu’il soit facile pour

une comédienne comme toi de passer

du X au charme, à l’érotique Soft

et cela te plairait-il?

M: Ah oui! Je suis tentée mais cela

ne sera pas facile car ceci demande

énormément de travail et de

concentration.

Déjà pour le X, il faut se concentrer  même si on est comme moi. Car à la

base, j’aime le cul et cela m’avantage par

rapport à celles qui ne font cela que

pour l’argent. Bon d’accord, il ne faut                       

pas s’en cacher. Il y a aussi l’argent,

mais je suis un peu plus détendue, car

il y a le plaisir.

Ce qu’il faut savoir c’est que dans

l’érotisme il y a beaucoup plus de

travail: il faut être sensuelle... Mais on                               

ne va pas jusqu’au bout par rapport au

hard... et il faut savoir se contrôler

pour ne pas y aller. Mais cela aussi

s’apprend... comme tout.

SH: Ton rêve dans ce métier?

M: Plusieurs, mais je ne les citerai pas....